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Solidarité concrète pour notre camarade Muléki



Soutien à Muléki, père d’une petite fille à Rennes, ayant reçu une Obligation de Quitter le Territoire Français, et qui se retrouve sans ressources. Tiré de expansive.info

Notre ami et camarade Muléki milite dans des associations luttant pour les droits des étrangers depuis plusieurs années à Rennes, notamment à CARPES.

Suite à une Obligation à Quitter le Territoire Français, il a perdu son travail. Papa d’une petite fille, il n’a plus de de ressources financières et pas d’aide pour payer son loyer pour lequel il a une dette de plus de 1740 euro.

(1850 pour couvrir les frais de commission de la plateforme)

Pouvez-vous l’aider dans ce coup dur ?

Nous avons ouvert une cagnotte : https://www.leetchi.com/c/soutien-a-notre-ami-muleki

Ensemble on est plus fort !

Merci.

Ses ami.e.s de CARPES

À lire aussi

Soirée de soutien aux jeunes exilé.e.s

L’association Asile et Partage vous invite à une grande soirée organisée en soutien aux jeunes exilé.e.s le samedi 4 février au Centre Jacques Tati de Belle-Beille (5 rue Eugénie Mansion à ANGERS).
Spectacle musical « L’amour dans tous ses états » en deux parties à partir de 19h avec un entracte buvette/buffet africain à 20h pour celles et ceux qui souhaitent se restaurer (plat préparé par des jeunes vivant à l’abri réquisitionné de La Vendange).
La participation à la soirée (spectacle comme buffet) est libre, nous comptons simplement sur votre générosité. Toutefois, afin d’estimer le nombre d’assiettes à préparer, il vous faut obligatoirement réserver votre repas avant le lundi 30 janvier :
par mail à asileetpartage@gmail.com
ou bien par SMS au 06 07 82 86 02
(un ticket vous sera donné à l’entrée de la salle)
Asile et Partage

Ouverture d’un nouveau squat à la frontière franco-italienne, appel à soutien !

Communiqué et appel à soutien des occupant.ex

Presqu’un an après la dernière expulsion de la Casa Cantoniera de Clavière, nous sommes resté.exs ici, dans cette vallée, sur cette frontière sanglante et raciste, près des personnes qui, chaque jour, la défient et la surmontent, bien qu’elles soient forcées de le faire “illégalement” : contrôlées, rejetées et violentées par l’État et ses forces armées.
Dans cette même vallée où, des milliers de “migrant.ex” avec de bons papiers, appelé.ex touristes, transitent sans être dérangé.ex. Dans la même vallée où, seulement en janvier de cette année, la frontière a tué deux personnes, Fatallah Belhafif et Ullah Rezwan.