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Gaza un génocide toujours en cours



Cela fait plus de 100 jours que Gaza est sous les bombes, que les palestiniens se font tuer. On vous partage ici des chiffres que les journaux télévisés ne prennent même plus la peine de mettre en une. Plus de 90% de la population de la bande de Gaza souffre aujourd’hui de la faim. A Angers, la dernière manifestation qui a eu lieu samedi 20 janvier, a réunie 200 personnes, soit beacoup plus que les derniers rassemblements. En éspèrant que cette dynamique se poursuive.
L’heure et le lieu du prochain rassemblement est à venir.

Action contre la faim chiffrait que 80% de la population mondiale est confrontée à la famine ou à des niveaux d’insécurité alimentaire catastrophiques. Ces 80% se trouve aujourd’hui à Gaza.

Les associations et organisations de solidarité conntinuent à appeller un cessé le feu immédiat, Israël continue à détruire des milliers de vie à un rythme jamais vu auparavant !

Les organisations appellent à un rassemblement chaque samedi sur Angers.

« Je ne quitterai jamais ma vile natale Gaza et ma patrie Palestine. Malgré l’assassinat de plusieurs membres de ma famille - mon frère et mes cousins - pourtant fonctionnaires de l’autorité palestinienne - et la destruction de ma maison. Soit je meurs debout soit je vie dignement sur cette jolie terre de Palestine. Je resterai toujours à Gaza, même à côté des ruines et au milieu des décombres de mon immeuble détruit totalement. Malgré ma souffrance au quotidien et ma déchirure interne. Ici notre terre, nous ne partirons pas. Ici ma belle Palestine et ici ma jolie ville de Gaza, la résistante, la Gaza la dignité, Gaza la vie. Amitiés palestiniennes de Gaza à l’avenir et Gaza l’espoir. »
Ziad Medoukh

« Au premier coup tiré, il n’est plus d’idée pure. Seuls ceux qui ne sont pas encore nés ont les mains propres. Mais séparer politique et morale, c’est être sûr de n’entendre rien aux deux : robuste idée d’un certain Rousseau. Chaque mise à mort est un échec ; en tuant, on tue toujours un peu le projet même d’humanité. Le sang versé d’un seul révèle notre faillite à tous. Mais si le coeur se serre, la raison met au clair : l’ordre des forts fait que les persécutés, un jour, s’emploient à tuer ceux qui ont tant tué. Condamner le sang sans condamner l’ordre, c’est regarder le monde par l’oeil du roi. La violence soudaine résulte de la violence semée ; la première, marginale, fait pourtant l’objet d’autrement pus d’attention. On élude à dessein le long travail de sape, de corrosion et désintégration de la violence étatique. »
Nudem Durak et pour toujours free palestine.

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