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Répression et coup de pression à la prison pour étrangers de Palaiseau (91)



On relaie ici des faits extrêmement graves ayant lieu au centre de rétention de Palaiseau. La situation est tendue au centre de Palaiseau, une équipe s’en prend aux prisonniers. Un prisonnier raconte quelques moments un peu chauds de ces derniers jours. Tiré de Paris-luttes.info.

À peine tu descends les escaliers pour aller a l’infirmerie, t’y es déjà. Ici on est 36 mais la cour elle est plus petite qu’en quartier d’isolement sécuritaire en prison. À Palaiseau, y a une des deux équipes de keufs... ils triquent vraiment les gens. Dans chaque équipe y a un gradé, et celui-là il aime trop aller vers les gens et crier « TA GUEULE ! ». Il est grand, genre 1m80, 100kg. Il emmène les gens à l’isolement parce qu’il n’y a pas de caméras et là-bas ils se font défoncer.

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Soirée de soutien aux jeunes exilé.e.s

L’association Asile et Partage vous invite à une grande soirée organisée en soutien aux jeunes exilé.e.s le samedi 4 février au Centre Jacques Tati de Belle-Beille (5 rue Eugénie Mansion à ANGERS).
Spectacle musical « L’amour dans tous ses états » en deux parties à partir de 19h avec un entracte buvette/buffet africain à 20h pour celles et ceux qui souhaitent se restaurer (plat préparé par des jeunes vivant à l’abri réquisitionné de La Vendange).
La participation à la soirée (spectacle comme buffet) est libre, nous comptons simplement sur votre générosité. Toutefois, afin d’estimer le nombre d’assiettes à préparer, il vous faut obligatoirement réserver votre repas avant le lundi 30 janvier :
par mail à asileetpartage@gmail.com
ou bien par SMS au 06 07 82 86 02
(un ticket vous sera donné à l’entrée de la salle)
Asile et Partage

Ouverture d’un nouveau squat à la frontière franco-italienne, appel à soutien !

Communiqué et appel à soutien des occupant.ex

Presqu’un an après la dernière expulsion de la Casa Cantoniera de Clavière, nous sommes resté.exs ici, dans cette vallée, sur cette frontière sanglante et raciste, près des personnes qui, chaque jour, la défient et la surmontent, bien qu’elles soient forcées de le faire “illégalement” : contrôlées, rejetées et violentées par l’État et ses forces armées.
Dans cette même vallée où, des milliers de “migrant.ex” avec de bons papiers, appelé.ex touristes, transitent sans être dérangé.ex. Dans la même vallée où, seulement en janvier de cette année, la frontière a tué deux personnes, Fatallah Belhafif et Ullah Rezwan.